| | Andrea Fabio Della Robbia } Call Me iDol ! || U.C. | |
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Andrea F. Della Robbia NOUVEAU | Présentation à Faire.
Nombre de messages : 32 Citation : : Call Me iDol ! Humeur : : Et si on se faisait une Junkfood DVD Party ce soir ? Hein, Amelia ? 8D Date d'inscription : 11/04/2008
Feuille de personnage Date de Naissance, Age: August 7th ~ Eighteen Maison: Ou Ancienne Maison pour les Adultes. RelationShip *:
| Sujet: Andrea Fabio Della Robbia } Call Me iDol ! || U.C. Ven 11 Avr - 21:54 | |
| _001 } ÉTAT CIVIL. Della Robbia. - Della Robbia : « Della » est la contraction de « di la » et « Robbia » est le nom italien de la garance, une plante vivace et grimpante. Serait-ce le côté « parasite increvable » d'Andrea ?
Prénoms : Andrea, Fabio. - Andrea : Prénom italien très populaire signifiant « homme ».
- Fabio : Signifie « issu de Fabius », illustre famille romaine du Ier siècle.
Surnoms : Andy ou Drew sont les plus courant, bien qu'on m'appelle aussi la Chose Hybride, l'Idiot, le Crétin, Eh-toi-là-bas, etc. Mais moi, j'préfère qu'on m'appelle iDol ! Mais personne veut m'appeler comme ça à part Amelia. C'est le croisement entre iPod et Idol ! Attention, il faut prononcer « Aïdoool » avec un bel accent anglais, sinon ça le fait pas ! Ne pas prononcer « Idole » à la française ou « Aïdoru » à la japonaise ou quelconque autre accent. Moi je veux à l'anglaise parce que ça fait VIP ! « I-D-O-L », pigé ? Oh, bien sûr, il est courant que quelques petits malins le déforme pour m'appeler iDiot, mais bon... On fait avec ! Âge : 18 ans. Date et Lieu de Naissance : 7 Août 1990 | Naples. Année Scolaire : 7ème année. Andrea a redoublé sa 5ème année, faute de résultats brillants à ses BUSEs. Sexe : Masculin. Jeunes filles, vous vous en apercevrez bien vite... <3 Orientation Sexuelle : Hétérosexuel, bien qu'il aie trempé un peu partout. Baguette : Bois de châtaigner, 31 centimètres, plume d'hippogriffe. Sang : Moldu. _002 } PHYSIQUE. Cette silhouette mince et agréablement musclée qui arpente Lowarts avec insouciance, beaucoup l’ont déjà vue. Son éternel jean Diesel qui laisse largement entrevoir son boxer Hugo Boss, sa chemise de marque à demi déboutonnée, ses chaussures à l’italienne, ses lunettes de soleil extra fashion, sa Vogue superslim entre les lèvres, son iPhone collé à l’oreille et son sac négligemment rejeté sur son épaule. Andrea Della Robbia a tout du tombeur frimeur sur les bords. Le Latin Lover par excellence. Bien sûr, cette apparente richesse n’est que superficielle, mais nous n’en parlerons pas ici. Ses cheveux, blonds comme le sable napolitain, ne sont jamais vraiment coiffés : il arbore toujours les même épis désinvoltes qu’il structure en se passant la main dans les cheveux. C’est pratique « le matin » quand il se réveille à 14h00 et qu’il se fait pourrir la gueule par Adam au téléphone parce qu’il a raté le scoop du siècle, et qu’il n’a évidemment pas le temps de se faire des bigoudis. Et au pire, si sa chevelure est vraiment honteusement incoiffable, il peut toujours se mettre une casquette style Gavroche sur la tête. Mais il semble que ce petit côté sauvage plaît aux filles, alors Andy refuse que quiconque touche à ses mèches dorées – ou rouges, ou violettes, ou bleue, ou noires, ou roses selon son humeur ! D'ailleurs, ses cheveux blonds sont aussi une coloration car à la base, sa chevelure est brune. Andrea possède de jolis yeux qui, selon la luminosité, passent du bleu clair au gris métallique. Il en est plutôt fier et est tout à fait conscient du fait qu’ils font craquer la gente féminine. Très doué pour faire le regard de chien battu, il peut ainsi se mettre 90% de la population dans la poche. C’est limite si les gens ne se mettent pas exprès dans des situations délicates pour qu’il puisse obtenir ce qu'il veut. Mine de rien, sous ses airs d’imbécile heureux, c’est un calculateur. Un calculateur du dimanche, certes, mais un calculateur quand même. Enfin ses iris lumineux et pétillants ont au moins le mérite de pouvoir le sortir des embrouilles mineures dans lesquelles il se fourre (souvent), sinon à l’heure qu’il est, son cadavre criblé de balles serait en train de pourrir au fond de la Tamise ou du lac noir. Oui, Andy adore foutre la merde, mais c’est une autre histoire. Cependant, on ne peut nier que ses beaux yeux débordants de sincérité, de joie et d’étoiles ont quelque chose de rassurant, d’attirant et d’irrésistiblement sympathique. Que dire de cette jolie bouche qui ne fait que débiter des conneries à longueur de journée ? Toutes les personnes qui l’ont essayée (et Dieu sait si elles sont nombreuses !) disent que ces belles lèvres pleines et douces sont très agréables à embrasser. C’est vrai que sa bouche bien dessinée, avec ce sourire radieux et cette moue insolente, a de quoi plaire. Nombre de gens pourraient vous décrire avec ravissement le sourire qu’il arborait la toute première fois : franc, sans artifice, rayonnant et chaleureux. Peut-être seriez-vous la prochaine (voire le prochain) à y goûter ? Notons que sa langue est percée d'une bille d'argent appellée plus communément piercing. Il paraît que ça fait un effet fou quand on embrasse. En vérité, s’il n’est pas encore sur la paille, c’est sûrement grâce à son beau visage. Des traits agréables, un nez légèrement en trompette – bien pratique pour s’en mettre plein les narines – , une peau anciennement hâlée que le soleil londonien a fait pâlir… Un minois toujours, c’est certain, éclairé par un large sourire. Les moues – tantôt joyeuses, tantôt perplexes ou tantôt dégoûtées – qui viennent animer son visage rieur en ont déridé plus d’un. C’est vrai qu’il est assez drôle de voir Andrea loucher en serrant les lèvres devant un plat qu’il ne connaît pas ! (On la retrouve donc souvent, car à part le junk food et les spaghettis, il ne connaît pas grand chose !) Si on recule un peu pour avoir une vue d’ensemble, la plupart des gens s’accorderont à dire qu’Andy est bien foutu. Musclé juste comme il faut, bourrelets inexistants, jambes interminables, hanches étroites, torse glabre, mains et doigts fins, épaules solides mais pas trop. En deux mots, il est bien proportionné. Il faut dire que les foot sur la plage, les courses-poursuites dans les rues napolitaines et londoniennes et les prouesses physiques lors d’un méfait condamnable par la loi, ça sculpte le corps ! Avec une taille d’1m81 pour 68kg de muscles, notre fils de mafioso n’en pas en reste. Sur son torse, juste sous l'épaule droite, est tatoué une croix, qui est notament un des symbole de la mafia italienne. Au niveau vestimentaire, Andrea se révèle être un garçon assez varié, mais restant dans le registre « fashion, j’me la pète avec mon style super recherché ». Les seuls détails qui ne changent presque jamais, c’est son jean qui doit être un Diesel, sa clope au bec – Vogue Superslim, Lucky Strikes, Black Stones Cherry et éventuellement les Marlboro Light qu’il taxe à Adam – et ses lunettes mouche Versace. Cependant, il se peut qu’il porte un pantalon en cuir – qui galbe joliment la fesse – ou qu’il troque ses eyes wear Versace pour des lunettes d’aviateur aux verres colorés. Il aime porter des chaussures à l’italienne, des bottes de cow-boy, des baskets Adidas, des Converses et des bottes de moto. Longs manteau, blousons en cuir ou en jean, trench courts ou longs et redingotes customisés font partie de sa vaste garde-robe de fringues griffées. Je ne vais pas tout vous énoncer ici, mais soyez sûr que le résultat est toujours explosif. Signes Particuliers : Un tatouage en forme de croix sur le torse, juste sur l'épaule gauche. _003 } CARACTÈRE.Témoignage de Mr Virginio Della Robbia.
« Mon fils est le pire des parasites que la Terre ait jamais portée. C'est un virus, un déchet, un voyou, le fond du fond ! Depuis qu'il est enfant, il a voué sa vie à nous empoisonner la vie, à ma femme et moi. A à peine deux ans, il était déjà insortable. Au restaurant, dans l’avion, dans la rue… Partout il hurlait, faisait des caprices, importunait les gens, courrait dans tous les sens… Un vrai supplice ! Je me souviens encore à quel point nous avions honte de lui. Même maintenant qu’il s’est enfuit, penser à lui m’est douloureux. J’aimerais bien le voir revenir en rampant, à implorer notre pardon, pour pouvoir l’écraser moi-même. En plus, c’est un imbécile. Il est totalement incohérent, illogique… Quand il dit qu’il va chez le coiffeur, on le retrouve au supermarché en train de voir s’ils ne vendent pas des chiots ! C’est vraiment n’importe quoi ! Je suis sûr qu’il fait ça pour me rendre fou ! Il n’allait jamais à l’école, préférant se baigner dans la Méditerranée et jouer au football avec d’autres voyous ! D’ailleurs, il prenait toujours un malin plaisir à me contredire, à faire le contraire de ce que je lui demandais. Je le revois encore, vautré sur la canapé, entouré de chips, de bonbons et de packs de bière, à jouer à un de ses trucs idiots avec une mannette, là… Plusieurs fois, je l’ai surpris à regarder des films indécents, et le pire, c’est qu’il n’éprouvait aucune gêne. Il a même poussé le vice jusqu’à me demander de participer ! Quelle honte ! Comme les fois où il ramène ces filles de mauvais genre et ce garçon débauché à la maison… Que ce soit avec l’un ou les autres, les toujours le même manège ! On le retrouve nu comme un ver dans sa chambre ! Je le déteste. D’ailleurs, à partir de ce moment où l’on s’est violemment disputé et qu’il a fugué, je l’ai déshérité. Bien fait pour lui. En fait, je pourrais résumer ma relation avec mon cet imbécile en une seule phrase : Je n’ai pas de fils. »
Témoignage de Mrs Elena Della Robbia.
« Andrea… Je dois dire qu’ils nous a causé beaucoup de problèmes. Malgré tout, il reste mon fils et je l’aime. Même s’il ne fait que des bêtises, je le trouve adorable, comme un jeune chiot encore tout fou. Je sais qu’il a bon fond et qu’il n’est pas méchant. Il est juste jeune et bête. Il ne faut pas lui en vouloir. Je dois dire que ça me manque de le voir se réfugier dans mes bras après une énième dispute avec son père. Il est si mignon, si innocent, si naïf, si immature… Andy vit dans son monde, un monde bien à lui. C’est vrai qu’il est dur à suivre et que ses agissements sont souvent décousus et insensés, mais j’imagine qu’il possède sa propre logique. Il n’y a que ce jeune homme, Adam, qui le comprenne réellement, je crois. Je suis heureuse qu’il se soit trouvé un compagnon pour affronter la vie, il en aura besoin. Surtout depuis qu’il est parti. Son départ m’a brisé le cœur, mais je ne lui en veux pas. Tout ce que je peux faire pour l’aider, c’est l’appeler et lui envoyer de l’argent ; tout ça, bien sûr, dans le dos de son père. Mais je suis inquiète pour lui… Il a toujours eu un don pour s’attirer des ennuis et des complications. Il me dit toujours que tout va bien, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il me ment pour me rassurer. Londres est si dangereuse pour un gamin comme lui. La drogue, l’alcool, le crime… Sans personne pour le surveiller. Le connaissant, je suis certaine qu’il collectionne les ennemis et les problèmes. Mais je l’imagine bien, se faufilant entre les uns et les autres, sans se rendre compte qu’on brandit un poignard dans son dos ou un pistolet entre ses omoplates… »
Témoignage de Miss & Miss Belinda et Donatella Della Robbia.
« Notre frère ! Peuh ! Un débile profond ! Il cherche les emmerdes et c’est bien fait pour lui s’il a été déshérité par père ! C’est un débauché et un idiot ! Ça ne nous étonnerait pas qu’on le retrouve au fond de la Tamise avec une balle dans la cervelle et la gorge tranchée ! »
Témoignage de Miss Rosa Feltracco.
« Andy, le petit Andy. Quel garçon adorable ! Toujours débordant de vie, toujours le sourire aux lèvres. C’était mon préféré, mon favori. Je lui donnais toujours des biscuits et des boissons lorsqu’il errait, désoeuvré et puni pour la énième fois par son père, dans cette grande maison. En tant que domestique, je n’avais pas mon mot à dire, mais j’aurais voulu le défendre un peu plus. Lui-même m’a supplié de ne pas intercéder en sa faveur, de peur que je ne sois renvoyée. Lorsqu’il appelait « Rosa ! Rosa ! Rosa ! », j’accourais pour savoir pourquoi il me demandait, dussé-je abandonner la tâche qui m’avait été ordonnée. J’étais celle qui soignait ses blessures lorsqu’il se battait dans les ruelles mal famées de Naples, celle qui égayait ses interminables punitions, celle qui accédait au moindre de ses désirs d’enfant… Après cette fameuse dispute avec son père à propos de son mode de vie, il est venu me trouver et m’a parlé de son désir de s’échapper d’ici, de voler de ses propres ailes. Je l’y ai aidé, pour qu’il puisse enfin vivre sa vie comme il l’entend. J’espère seulement qu’il se débrouille bien… Mon petit Andy. »
Dernière édition par Andrea F. Della Robbia le Mar 15 Avr - 14:38, édité 4 fois | |
| | | Andrea F. Della Robbia NOUVEAU | Présentation à Faire.
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| Sujet: Re: Andrea Fabio Della Robbia } Call Me iDol ! || U.C. Ven 11 Avr - 22:38 | |
| Andrea, on l’adore ou on le déteste, tant pour son côté optimiste et débordant de vitalité que pour son aspect de boulet immature. Andy, c’est ce genre de garçon populaire qui cherche à être ami avec tout le monde, sans vraiment aspirer à creuser ses relations. On aimerait lui plaire ou au contraire démontrer aux autres qu’il n’est qu’un moins que rien. Il est sans cesse en train de bouger, virevoltant, tel un papillon, d’un endroit à un autre, d’une connaissance à une autre. Lorsqu’il vous a mit le grappin dessus, si vous voulez vous en débarrasser, rien de plus simple : fermez les yeux 5 secondes. Lorsque vous les rouvrez, il s’est déjà envolé vers de nouveaux horizons ! Andrea se fiche de tout et ne fait attention à rien. La vie, pour lui, se résume à peu de chose : Sex, Drug & Junk Food. Pour ce jeune homme qui n’aspire qu’a rester vautré sur son canapé, devant sa console, en mangeant des chips et en buvant de la bière, les problèmes de la vie quotidienne du genre « OMG ! Il faut que je paye les factures ! » ou « Merde ! J’ai plus de shampoing ! » sont à des années lumières de ses préoccupations. En vérité, il se rend compte de ces « petits détails » lorsque l’électricité, le téléphone et l’eau chaude se coupent, ou quand ses cheveux commencent vraiment à sentir comme la pizza abandonnée sous le canapé il y a un mois. C’est là qu’il décide de réagir. Il prend son courage à deux mains, se lève de son canapé en trébuchant, se traîne jusqu’à la porte d’entrée, l’ouvre avec la motivation d’une vache qui va à l’abattoir, traverse le palier à la vitesse d’une tortue qui a une patte cassée, frappe à la porte d’Amelia et déclare avec beaucoup de noblesse : « Amelia… Tu peux m’prêter du fric pour que j’paye mes factures ? J’ai tout claqué en jeux vidéos… » ou encore : « Amelia… Tu m’prêtes ton shamp’ ? J’en ai plus. » Et il repart en sens inverse pour se rendormir entre les canettes et les poches de McDo. Très héroïque n’est-ce pas. Voici donc l’envers du décor. Pas très reluisant… Hum, hum ! Mais Andy n’est pas qu’une grosse larve. C’est aussi un gros fêtard. Dragueur, sûr de lui, enthousiaste, drôle et franc, il est le partenaire idéal pour prendre une bonne grosse cuite sur le dancefloor suivie de deux ou trois rails pour tenir le coup jusqu’au matin. C’est beau la vie envisagée du point de vue du bel italien. Car pour lui, la vie n’est rien qu’autre qu’un immense terrain de jeu. Ce bon vivant, naïf et délirant, est le compagnon de toutes les conneries, de toutes les escapades foireuses. « Hey, Andy ! Tu viens, on va faire un concours de celui qui pisse (ou crache) le plus loin ! » « Ouais ! Génial ! J’arrive tout de suite ! » Vous voyez le genre ? En fait, c’est encore un gamin immature. Au niveau relationnel, Andrea ne cherche pas de complications ou de chemins tortueux pour arriver à une conclusion, il va droit au but, franchement, sans tergiverser pendant trois heures. Il n’est pas comme toutes les filles qui font des sous-entendus obscurs pour dire quelque chose. Pas de chipotages avec lui. Ce trait de caractère peut être considérer comme une qualité ou comme un défaut. Tout dépend du sujet. Evidemment si c’est « Nan, laisse tomber, t’as aucune chance. T’es bien trop moche pour sortir avec ce type. Même moi j’voudrais pas d’toi. » Là, ça jette un froid. Mais bon, on finit toujours par le pardonner, parce qu’il est mignon et complètement dingue. Calculateur en herbe et incapable d’aligner trois mots cohérents entre eux, il fait rire, détend l’atmosphère et attire de par son attitude exubérante. Andy s’amuse d’un rien et est intéressé par la moindre petite chose, si insignifiante soit elle. Il donne sa chance à tout le monde, même s’il est souvent abusé. Mais attention ! Andrea peut être sérieux. Oui, vous avait bien lu. Il peut le faire ! Mais à une condition seulement : s’il bosse. Andy devient alors un bourreau de travail, un monstre de sérieux, une machine à brasser la paperasse, l’Attila des articles de presse et des clichés scandaleux, le Napoléon de la filature et des trafics en tous genres. Là, ça rigole plus. Dans son habit de journaliste – Andy fait partie du journal de l'école –, il devient un pro de la plume : il y a du génie et de l’unique dans ses articles. Ses photos sont réussies et toujours véridiques. Drôle d’animal, non ? Une des particularités d’Andrea est d’illustrer à merveille le proverbe « Entre le génie et l’imbécile, il n’y a qu’une mince feuille de papier. » C’est vrai que cet espèce d’excité border line peut passer pour le dernier des crétins tant ses propos sont illogiques et naïfs. Mais pourtant, il semble si idiot que son comportement dépasse l’entendement. Sa logique est telle que, pour toute personne normale ou dotée d’une intelligence hors norme, décrypter ses intentions ou anticiper ses agissements est impossible. Lui-même brouille les pistes en parfaite innocence, ouvrant des yeux ronds lorsqu’on l’accuse de manipulation ou de mensonge. Il change d’avis comme de chemise, ce qui ne facilite pas les choses. Ainsi, beaucoup le soupçonnent d’être en fait un surdoué qui prend un malin plaisir à manipuler et se jouer du monde. Pourtant, croyez-le ou pas, Andy ne calcule rien du tout : il se laisse simplement ballotter par le courant de la vie. Alors, génie ou idiot ? Andrea possède un merveilleux sens de déduction et d’analyse, même s’il semble arriver à toutes ces conclusions par hasard. Il a du flaire lorsqu’il s’agit de ragots, de scandales, de drogues et autres magouilles légales et illégales. Cette qualité fait de lui un journaliste hors pair, très demandé. C’est notamment à cause de tous ces facteurs que certains le trouvent insupportable et ne veulent que sa mort. Des ennemis, il en a à la pelle, sans même s’en rendre compte. Jalousie, haine et balles de revolver sont dans son rayonnant sillage sans, comme par miracle, l’atteindre lui et son aura solaire.
- Point fort :
Le plus grand point fort de Drew, c'est sa plume. Il ne révèle tout son potentiel que lorsqu'il écrit. C'est un virtuose de l'article calomnieux et inrévérencieux. De plus, grâce à sa joie de vivre inaltérable, il y a très peu de piques qui l'atteigne. Sa bonne humeur est un véritable mur de diamant et son optimisme défie les lois de la physique ! Sinon, sa connerie qui dépasse l'entedement humain est également un de ses points forts dans le sens où la plupart abandonnent le combat devant une telle créature increvable. Il n'a honte de rien et assume tout.
- Point faible :
Une des seules choses qui puisse l'atteindre, c'est de se faire ignorer. Lorsque ça arrive, il perd ses moyens et ne sait plus quoi faire, complétement paumé. Il est également facilement abusable et ne se rend compte que trop tard que l'on s'est servit de lui. Andrea est totalement largué quand il s'agit de débiter de grands raisonnements mathématiques.
- Ce qu'il aime, ses phobies :
Drew a une phobie incontrôlable des ascenseurs. Il est bien content qu'il n'y en aie pas à Lowarts ! En effet, il préfère monter quatre-vingt étages en courant que de rentrer dans une de ces petites cabines, ayant trop peur qu'elles se décrochent. Il craint son père et essaye tant qu'il peut de se faire oublier, bien qu'il n'y arrive jamais, étant bien trop bruyant et amputé de discrétion. Il a également peur de ne plus avoir d'argent (autant dire tout de suite qu'il a souvent peur), de se faire virer d'Angleterre (il est un peu clandestin sur les bords), d'aller en prison, de mourir dans la souffrance, de se faire jeter et oublier par Amelia et de ne plus avoir d'amis. Il n'aime pas ranger son appartement, faire le ménage et cuisiner. A l'opposé, Andy adooooore glander sur son canapé en jouant aux jeux-vidéos, vautré, en mangeant des chips et en buvant de la bière. Il est un grand fan de shônen en manga et anime. C'est un professionnel du strip-pocker et ne perd jamais une occasion d'y jouer. Andrea adore faire la fête, d'autant plus quand il s'incruste dans les soirées VIP pour emmerder le monde. Sinon, il aime profiter de la vie et s'eclater en général. Il apprécie le foot et le quidditch. _004 } CARACTÈRE APPROFONDI & RÉACTIONS DIVERSES..- As-tu déjà été amoureux(se) ?
Une seule fois. De mon Amelia de mon coeur ! Comment vois-tu l'Amour ? Comme une bouteille de vodka ! Au début t'es tout euphorique, tu te sens tout léger, t'es bien... Et après t'es tout seul, comme un con, à dégueuler, malade comme un chien. Café ou Thé ? Café ! Type de Musique ? J'aime beaucoup le Visual-Kei, la J-Pop, le Punk, l'Electro et le Pop-Rock. Sujets de Conversation préférés ? Les mangas, la fête, les jeux-vidéos, l'Italie, le Japon, le foot, le quidditch et tout plein de trucs inutiles. Sujets de conversation détestés ? Mon père, l'école, le ménage. Problèmes ? Euh... Je me suis fais déshériter et mon père me hait. Couleur préférée ? Le bleu clair. Comment te vois-tu dans l'avenir ? Journaliste à succès avec plein de fric, une belle femme et une grande maison ! Que changerais-tu dans ta vie ? Rien. J'adore ma vie ! Chanson préférée ? Shisô, de Last Alliance. Quelque chose que tu as toujours avec toi et que tu n'as jamais quitté ? Ma chaîne en argent offerte par Amelia. Que dirais-tu à quelqu'un en particulier mais que tu n'oses pas dire ? Nan, je dis toujours tout ce que j'ai à dire. Toi et le Quidditch ? J'adoooooore ! Timide ou Extraverti ? Extraverti, quelle question ! Le mot que tu aimes dire ? « Allegria » ou « Merda » ou « Porca Puttana » ou « Cazzo » Un mot a quelqu'un en particulier ? « Ti adora » à Amelia. Salé ou sucré ? Sucré. Vin ou bière ? Bière, naturalmente ! Lieu favori ? Mon appart et, en général, là où je peux m'amuser. Bien ou Mal ? Le Bien, je suppose... V. HISTOIRE.- Lieu d'Habitation :
{ Où vivez-vous ? }
- Historique Familial :
{ 5 lignes sont demandées. En plus des Membres de votre famille, vous devrez aussi faire un bref résumé de ce qu'il s'est passé avant la naissance de votre personnage. }
- Enfance :
{ 15 lignes minimum sont demandées. }
- Années scolaire :
{ Sauf si votre personnage entre en première année. }
- Le Monde Magique :
{ Une fois les études de votre personnage terminées. } _006 } EXAMEN SCOLAIRE : BUSES.Les notes suivantes sont celles de ses deuxièmes examens de BUSEs, ayant redoublé sa cinquième année à cause de ses trop mauvais résultats. BUSES : T Arithmancie : D Botanique : P Défense contre les Forces du Mal : E Histoire de la magie : T Métamorphose : A Magie noire, théorie : P Magie noire, pratique : P Potions : A Soins aux Créatures Magiques : E Sortilèges : A
Dernière édition par Andrea F. Della Robbia le Sam 12 Avr - 16:49, édité 2 fois | |
| | | Andrea F. Della Robbia NOUVEAU | Présentation à Faire.
Nombre de messages : 32 Citation : : Call Me iDol ! Humeur : : Et si on se faisait une Junkfood DVD Party ce soir ? Hein, Amelia ? 8D Date d'inscription : 11/04/2008
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| Sujet: Re: Andrea Fabio Della Robbia } Call Me iDol ! || U.C. Sam 12 Avr - 0:17 | |
| _007 } VERITASERUM. Kana. Âge : 15 ans. Comment avez vous connu le forum ? Double compte. Comment trouvez vous le design du forum ? Superbe ! <3 Comment trouvez vous l'intrigue du forum ? Extra ! J'aime cette ambiance ! Notez votre présence sur 7 : 3/7, sauf cas exceptionnel. Exemple de RP : - Spoiler:
Les volets s’ouvrirent en grand, claquant violemment contre le mur. Un jeune homme aux beaux cheveux blonds se pencha à la fenêtre, les mains agrippées à la balustrade. Les yeux clos, sa gorge d’agneau tendue, il offrait son visage pâle aux rayons du soleil printanier, se délectant de leurs caresses sur sa peau. Le ciel était d’un bleu pur et profond, traversé par quelques nuages vaporeux. Il pouvait entendre le murmure d’une douce brise jouer dans les feuilles miroitantes des arbres, et venir lui chatouiller la figure, chargé des délicates odeurs sylvestres. N’oublions pas les chants gazouillant des oiseaux pour compléter le tableau. Avril. Rien que le nom de ce mois était beau ! Soit, vous trouverez de tonnes d’arguments contre le quatrième mois de l’année : décalage horaire, météo capricieuse, rhumes… Mais rien ne pouvait démonter l’enthousiasme du jeune blond ! Pour lui, Avril rimait avec printemps, blagues de mauvais goût du premier du mois et vacances de Pâques ! Ça c’est un bon programme ! Dommage que cette année, Pâques est était en Mars… Mais bon ! Ne parlons pas des choses qui fâchent, cette journée allait être d’enfer ! Mello, car c’était bien le nom du blondinet, fit volte-face et s’avança à grand pas dans la chambre pour se planter devant le lit de son colocataire, déjà bien assommé par la lumière du soleil. Le démon esquissa un sourire, se retourna pour faire dos au lit du roux et sauta en arrière pour atterrir en position assise sur lui – et l’écraser au passage. Mello – « Tu dors ?! »Matt – « HUMPH ! Mais t’es malade ?! Non, je dors plus, là ! »Melly sauta à bas de la couche de son meilleur ami en riant. Il aimait bien faire chier son monde dès le matin. C’est fou ce qu’il peut se montrer exaspérant quand même… Mais le cyclone humain se fichait bien de l'état d'esprit de ceux qui l'entouraient. Même Matt, pour qui il avait beaucoup d'estime, ne pouvait échapper à ses petits – gros – caprices. Avec un petit air satisfait, il s'avança vers son bureau où était posé son emploi du temps. Mello fit la grimace. La journée commençait par une heure de perm... La poisse ! La perm c'était nul ! Quel intérêt à glandouiller dans une salle alors qu'on pourrait faire mille et une choses plus captivantes ?! Vous pouvez me le dire ?! Le pire c'est que cette foutue et maudite heure était obligatoire ! O-bli-ga-toi-re ! Grrr... Le jeune homme jeta un coup d'oeil au reste de la matinée et son sourire revint éclairer son visage. Sport avec Silence... Génial ! 1) Le sport, il adorait ça et il était imbattable ; 2) Il allait pouvoir se défouler tout en montrant l'étendue de ses capacités à la classe pour la énième fois ; 3) Embêter Silence était une de ses occupations favorites ! Yeah ! Mihael Keehl attrapa ses affaires pour aller se préparer en claquant des doigts sur une mélodie audible par lui seul et sortit de la chambre.
Rien ne pouvait altérer son moral d'acier ! Pas même cette heure de perm inutile ! Hahaha ! Quelle journée magnifique ! Il se pavanait dans les couloirs, son sourire d'enfant terrible collé à son visage angélique, l'air décidé, tout juste sortit de la salle de bain. A présent, le jeune homme était vêtu d’une veste de cuir noir et lisse à fermeture éclair d’où dépassait une capuche de tissu aux bords déchirés, ainsi que d’un pantalon de cuir noir également fermé par des lacets, et des chaussures noires de style italien (*). Il sortit une plaque de chocolat noir à 70% de sa poche et déchira l'embalage de papier, puis le papier aluminium dans un froissement familier qui lui donna des frissons impatients. Rien qu'en l'entendant, ses papilles gustatives se réveillèrent, lui mettant l'eau à la bouche. Avide, il porta la plaque de chocolat dont la robe était lisse, légèrement brillante et d'une couleur sublime, à sa bouche et croqua dedans. Clac ! Quel magnifique son ! Mello en était tout émoustillé. Un peu exagéré pour un simple morceau de chocolat me diriez-vous, mais pour le blondinet c'était tout un art, une addiction vitale. Il réduisit le carrée de chocolat en des morceaux plus petits en les fragmentant grâce à ses incisives, et les plaque avec sa langue contre son palais. Hmmm... Il sentait déjà les arômes sucrés/amers du cacao se répandre doucement et exciter ses papilles. Gourmand, le jeune démon frotta sa langue contre les morceaux de chocolat qui fondirent doucement. Il avalait le chocolat fondu avec délice, aux anges. Les yeux plissés par cette intense satisfaction, la certitude que ce jour était faste se renforça.
Malheureusement, la divine Providence en décida autrement et mit des obstacles sur sa routes. Obstacles qui prirent la forme de Ghost & Willow, les jumeaux les plus odieux de la création, les plus détestés de l'orphelinats, bref des emmerdeurs de première. Pour quelques obscures raisons, les deux empoisonneurs trottinèrent vers lui, parfaitement symétriques, collés l'un à l'autre. Mello les avisa avec méfiance. Qu'allaient-ils encore inventer ceux-là ? Pourtant, ils évitaient de trop se frotter à lui d'habitude... Pourquoi prendre une telle décision ? Suicidaire qui plus est. Les jumeaux se plantèrent devant lui, totalement identiques, et ouvrirent la bouche pour lancer d'une même voix :Ghost & Willow – « Ohayo, Chococroc ! »Mello fronça les sourcils. Chococroc ? C'était quoi ce surnom débile à souhait ? Il répondit tout de même, sur ses gardes :Mello – « Oy. Qu'est-ce que vous voulez ? »Ghost & Willow – « On a entendu dire que tu avais obtenu une note supérieure à celle de Near au dernier examen, aussi improbable que cela puisse paraître, toi qui est bête comme Matt lorsqu'il joue à ses jeux vidéos pervers où tu es bien sûr représenté tel que tu es, c'est-à-dire comme une pétasse blonde. Alors, c'est vrai cette énormité ? »Ses joues s'empourprèrent furieusement. Quoi ?! Ils se fichaient de lui ou quoi ?! Il y avait décidément trop de mots interdits dans ces deux petites phrases ! Near, dernier examen, improbable, bête, Matt, jeux vidéos, pervers, pétasse blonde, énormité. Ils osaient l'insulter, lui mais aussi Matt ! En plus, ils lui rappelaient ce putain d'examen où il avait révisé deux semaines pour finalement avoir 8 points de moi qui Near avec une note de 92 sur 100 ! Autrement dit, l'albinos avait obtenu la note maximum. Enfoirés de jumeaux ! Il allait les tuer ! Les éclater contre le mur, leur arracher la langue, la leur faire manger, les finir à coups de batte de baseball puis repeindre sa chambre avec leur sang ! Et enfin, il ferait don de leurs dépouilles à Aphrodite pour qu'elle en fasse ce qu'elle veut. Oh oui ! Quelle merveilleux programme ! Désireux de mettre son plan à exécution, Mello saisit violement Willow par le col et brandit son poing serré, prêt à frapper. Vif comme l'éclair, Ghost jeta un rapide regard autour de lui puis gifla - pas trop fort - son frère jumeau. Willow prit aussitôt un air affolé, les larmes au yeux et commença à se lamenter. La singularité de leur démarche fit stopper le jeune blond. Pourquoi faire une chose pare... Soudain, il prit conscience du pétrain dans lequel il s'était mit. Silence qui se pointait au détour du couloir, le sourire triomphant de Ghost, l'air faussement traumatisé de Willow et, surtout, la pâle silhouette de Near qui arrivait d'un couloir adjacent. Nooooooooon ! C'est quoi cette machination vicieuse ?! Le surveillant et professeur de sport se mit à lui hurler dessus et, dans sa surprise, Mello lâcha le cadet des jumeaux qui s'empressa de décrire avec moult détails sordides la violence de ce dernier et le coup imaginaire qu'il lui avait donné. L'aîné soutint bien sûr son frère, le tout sous le regard un rien sarcastique de Near. Mihael rougit de nouveau, non pas de colère mais d'indignation et de honte. Dans la foulée, Silence lui donna deux heures de colle et s'en alla avec Willow qui pleurnichait. Mel' resta planté là, sans voix, alors que son rival dédaigneux allait voir ailleurs. C'est pas vrai... La journée avait si bien commencé ! Mais l'adolescent revoyait son jugement... Ce jour était foutu, une journée de merde.
C'est en traînant des pieds, son sac pesant sur son épaule, qu'il rejoignit la salle de perm... Avec toutes ces conneries, il n'avait même pas eu le temps d'aller prendre son petit déjeuner. Heureusement qu'il avait son chocolat ! Le jeune blond ouvrit la porte et balaya la salle du regard, toujours vif malgré son abattement. Il n'y avait que Lust. Lust. Sa meilleure ennemie. Elle était ex-aequo avec lui dans le combat pour devenir L – quoique Mello était sûr que le vrai deuxième était lui-même et non la jeune fille. L'adolescente féline était aussi Leader d'un groupe nommé les Seven Deadly Sins, constitué en très grande majorité par un ramassis de pauvres connes, selon le blondinet. Candy et Cal'Jane en était de parfaits exemples. Dommage que la jolie jeune fille à tête de chat traîne avec de telles erreurs de la nature... Cela ternissait son image aux yeux du second. Pourtant, quoiqu'il en dise, il aimait beaucoup Lust, malgré le fait qu'elle dépensait une énergie folle à l'emmerder. Mignonne, élancée, agile, un look d'enfer, sa très chère ennemie avec de quoi plaire. Cependant, le jeune homme trouvait qu'elle avait une tête de gamine qui gâchait un peu son charme, sans parler de ses airs de chats. Hmm... Est-ce que la personne sur qui Lust jettera son dévolu n'aura t'elle pas l'impression d'être zoophile ?! Cette pensée arracha un petit sourire au blond, sourire qui s'évapora instantanément lorsque la chatte ouvrit la bouche :Lust – « Bonjour la pétasse blonde ! »Le visage de l'interpellé se décomposa. Ils s'étaient tous passé le mot ou quoi ?! Mello fit la grimace et fronça les sourcils. Non mais quelle plaie cette fille ! Quelle garce ! Elle était mignonne, mais juste de loin ! Quel boulet, j'te jure ! Ils se regardèrent dans les yeux. Aussi verts l'un que l'autre, sauf que Lust était espiègle et Mel' passablement énervé. Meurtre. Massacre. Tuer. Dépecer. Voilà ce qui flottait dans sa tête de délinquant. C'était sûr, d'ici la fin de la journée il y aurait un mort. La chatte de gouttière le prit par la main pour le tirer vers le fond de la classe. Le démon du feu hallucina. Mais qu'est-ce qu'elle foutait, là ?! Il laissa tomber son sac de cours au passage à côté d'un bureau, les yeux écarquillés par la colère et l'indignation, incapable de dire quoique ce soit.Lust – « Donc… Nous sommes seuls dans cette classe… On va pouvoir faire quelque chose.. J’ai même une idée, tu es de la partie ? »De quoi ?! C'est vrai qu'ils étaient seuls, bizarre d'ailleurs... Enfin là n'était pas la question. Tout ceci ressemblait fort à une invitation à la débauche, ici même, dans cette salle. Comment ça on est seuls ? Comment ça on va pouvoir faire quelque chose ? Quelle idée ?! Quelle partie ?! Une partie de quoi ?! Lust n'était-elle pas sensée être homosexuelle ? N'était-elle pas supposée aimer les filles autant que lui même restait fidèle aux garçons ? Non ? Si ? Pourquoi un tel retournement de situation ? Pourquoi aujourd'hui ? Pourquoi lui ? C'était sa fête ou quoi ? Qu'avait-il fait pour que le sort s'acharne ainsi sur lui ? Pourquoi ?! Les cordes vocales du jeune blond se délièrent, il retira vivement sa main et pila.Mello – « Sûrement pas ! T'as craqué ?! Hors de question que je participe à tes plans de nymphomane dégénérée dans cette foutue salle de perm ! »Il fit volte-face en grommelant, tira une chaise et s'y assit, boudeur. Cependant, méfiant, il se leva aussitôt, au cas où Lust voudrait le faire tomber de sa chaise. Nerveusement, il s'écarta à distance respectable du sale chat. Mihael la fixa de ses yeux verts d'eau, l'air suspicieux et peu confiant.(*) Here & There Code du Règlement : - Spoiler:
Chaos.
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